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mer. 15 mai

Hermann Ratzersdorfer - Plaque de poinçon en cristal de roche de Vienne Cristal de roche, argent, doré. Sur un socle bas, grande plaque ronde avec des incrustations de cristal de roche finement découpées. La monture est ornée de riches enroulements appliqués de style Renaissance, décorés de couples d'oiseaux et de mascarons en émail polychrome, opaque et translucide. Marques : Poinçon officiel de Vienne pour le titre 800, 1872 - 1922 (Neuwirth planche 7, n° 2), MZ Hermann Ratzersdorfer (avant 1845 - 1891, Neuwirth p. 129). Diamètre 36 cm, poids 1.883 g. Vienne, Hermann Ratzersdorfer, années 1870. Hermann Ratzersdorfer compte parmi les plus grands orfèvres viennois du 19e siècle. Sa spécialité était "les travaux d'art originaux dans le style du 16e siècle en cristal de roche et en émail" (catalogue d'exposition Vienne 1973, cité par Neuwirth, Wiener Gold- und Silberschmiede und ihre Punzen 1867 - 1922, Vienne 1977, p. 129). Ratzersdorfer a exposé pour la première fois à l'exposition universelle de Londres en 1851 et a remporté une médaille à l'exposition de Paris en 1855. C'est surtout en 1873 à Vienne et en 1878 à Paris que le public a célébré ses créations parfois spectaculaires. Littérature Cf. une coupe d'apparat de Ratzersdorfer, reproduite dans le cat. Macht & Pracht, Europas Glanz im 19. Jahrhundert, Ed. Völklinger Hütte 2006, p. 178 et suivantes. Une autre représentée dans le cat. Galerie Neuse, L'Apothéose du Génie, Les Expositions Universelles, leurs artistes et leur esprit, Bremen, o. J., p. 120 s.

Estim. 18 000 - 24 000 EUR

mer. 15 mai

Meissen Königliche Porzellanmanufaktur - Grande carpe avec son petit Porcelaine, décor sur glaçure en polychromie limitée. Représentation en pied d'un carlin femelle assis, la patte levée, avec le chiot en dessous. Les deux animaux sont finement décorés d'une fourrure naturaliste. Marque bleue des épées sur le côté, fond non émaillé. Déchirures de cuisson rebouchées, la patte levée rajoutée, les oreilles, quelques griffes et le bout de la queue restaurés. H 22,3 cm. Meissen, le modèle de Johann Joachim Kaendler, janvier 1741, le façonnage contemporain. Les nombreux modèles de figurines de vadrouille de Meissen s'expliquent par la nouvelle popularité de "l'ordre de la vadrouille" à la cour de Saxe. Sur ce sujet, nous recommandons toujours la lecture de l'article d'Erich Köllmann dans Keramos 50/70, qui y évoque la seule publication connue sur l'ordre fondé par le prince électeur Clemens August de Cologne ainsi que sa cause : Le livre "L'ordre des Francs-Macons trahi et le Secret des Mopses relevé" de l'abbé Gabriel Louis Calabre Perau (1700 - 1767), paru en 1745 à Amsterdam. La même année, le livre fut déjà traduit et publié sous le titre "Der verrathene Orden der Freymäurer, Und das offenbarte Geheimniß der Mopsgesellschaft" et à Leipzig par Arkstée et Merkus. Le rite d'admission solennel mais amusant de l'Ordre, qui devait singer celui des francs-maçons, y est décrit de manière particulièrement détaillée. Dans l'ensemble, le livre se comprend probablement plutôt comme une incitation à un jeu de société critique, auquel la malédiction et l'excommunication des francs-maçons français par le pape Clément XII en 1738 donnèrent lieu. Les femmes étaient également admises dans le nouvel ordre, l'une d'entre elles, en tant que Grande Vadrouille, occupant le poste de maître de loge avec le Grand Vadrouilleur. Le statut du mop en tant qu'animal de cour était établi - et perdure encore aujourd'hui pour les collectionneurs de sculptures en porcelaine et les détenteurs d'animaux vivants : "Une vie sans mop est possible, mais inutile" (Vicco von Bülow). Littérature Cf. Rückert, Meissener Porzellan 1710 - 1810, Munich 1966, n° 1094. Cf. Pietsch, Die figurürliche Meißener Porzellanplastik von Gottlieb Kirchner und Johann Joachim Kaendler, Munich 2006, cat. n° 299 (SKD Inv.Nr. P.E.577). Cf. Dumortier/Habets (éd.), The T&T Collection. Porcelain Pugs. A Passion, Bruxelles 2019, n° 6 et suiv.

Estim. 8 000 - 10 000 EUR

mer. 15 mai

Meissen Königliche Porzellanmanufaktur - Mops femelle assise sur un coussin rouge Porcelaine, décor en émail coloré, dorure. Assise vers la gauche, finement décorée d'un pelage clair et d'une incarnation vivante. Autour du cou, un ruban pourpre avec un nœud jaune et trois clochettes dorées. Le coussin rouge fer est orné d'un décor de feuilles noires en répétition et de quatre glands dorés. Fond dépouillé sans marque. Queue, grelots et minimes chips aux oreilles restaurés. H 11 cm. Meissen, le modèle de Johann Joachim Kaendler, vers 1743 - 45. Sur le thème rare de l'ordre des Mops, il est toujours recommandé de lire l'article d'Erich Köllmann dans Keramos 50/70, qui y fait référence à la seule publication connue sur l'ordre fondé par le prince électeur de Cologne, Clemens August, ainsi qu'à ses causes : Le livre "L'ordre des Francs-Macons trahi et le Secret des Mopses relevé" de l'abbé Gabriel Louis Calabre Perau, paru en 1745 à Amsterdam. Le rite d'admission solennel mais amusant de l'Ordre y est décrit de manière particulièrement détaillée, en satire de celui des francs-maçons. Dans l'ensemble, le livre se comprend probablement plutôt comme une incitation à un jeu de société critique, auquel la malédiction et l'excommunication des francs-maçons français par le pape Clément XII en 1738 donnèrent lieu. Dans le nouvel ordre, les femmes étaient également admises, l'une d'entre elles occupant le poste de Grande Mops avec le Grand Mops, le maître de la loge. Littérature Cf. Dumortier/Habets (éd.), The T&T Collection. Porcelain Pugs A Passion, Bruxelles 2019, cat. n° 12. Cf. Helke/Schandelmaier, Compagnons de cour. Möps et autres chiens en porcelaine et en faïence, Stuttgart 2020, cat. n° 21. Une femelle mop peinte de la même manière mais plus grande verst. Lempertz Köln vente aux enchères 1000 le 16 novembre 2012, lot 72.

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

mer. 15 mai

[MANUSCRIT ENLUMINÉ DU XVe SIÈCLE]. NORMANDIE] Heures à l'usage de Rouen, nord de la France (Rouen ?), dernier quart du XVe siècle, vers 1470-1480. Volume: 224 × 165 × 52 mm. [162] feuillets de velin. Page 213: × 152 mm. Calendrier. Surface d'écriture: 65 × 90 mm; marge sup. 37 mm; inf. 85 mm; int. 27 mm; ext. 22 mm. Une colonne de 16 lignes, interligne 6 mm. Grandes lettrines: 28 × 14 mm; petites lettrines: 11 × 7 mm. Corps de texte. Surface d'écriture: 95 × 65 mm; marge sup. 38 mm; inf. 85 mm; int. 27 mm; ext.: 22 mm. Une colonne de 15 lignes, interligne 6 mm. Grandes lettrines: 30 × 27 mm; lettrines moyennes 26 × 20 mm à 17 × 14 mm; petites lettrines: 15 × 5 mm. Reliure cuir de Russie havane XIXe s., dos à 3 faux-nerfs larges saillants, titre et date dorés, caissons ornés à froid et bordés de roulettes et filets dorés, plats décorés de cadres multiples composés de roulettes et filets à froid et dorés, losange au centre, roulette rotée aux coupes, doublure et gardes de maroquin vert, tranches anciennement dorées et peintes de motifs floraux en deux tons (légers frottements, déboîtée). PROVENANCE L'hypothèse d'un commanditaire de sexe féminin, suggérée par la présence d'une femme en prières devant la Vierge à l'Enfant (f. 149r), est appuyée par l'ajout du nom de sainte Catherine, à la date du 25 novembre, par une main différente de celle du copiste. Calendrier (f. 1r-12v) Le calendrier, en français, se rapporte à l'usage de Rouen. On y trouve notamment mention de saint Sever (1er février) et sainte Austreberte (10 février), tous deux commémorés dans un bréviaire rouennais du XVe siècle (Leroq. B. 539); saint Vigor (5 mars), évêque de Bayeux de 511 à 538; saint Valery (1er avril), évêque de Rouen, attesté dans plusieurs manuscrits rouennais du XVe siècle; saint Méen (15 avril) fondateur de l'abbaye éponyme en Ille-et-Vilaine; saint Vaast (16 avril et 16 juillet), auquel une dizaine d'églises sont dédiées dans la Somme; la translation des reliques de saint Ursin (12 juin), fêtée aux diocèses de Rouen, Lisieux et Sées (Leroq. B.539, Lat. 1323, B.631, Lat. 1334); saint Maclou (15 juillet); saint Vivien (28 août), fêté le 26 dans un manuscrit du diocèse de Rouen au XVe s. (Lat. 1334); saint Mellon, évêque de Rouen (21 octobre); saint Maclou (15 novembre et 10 juillet), attesté dans plusieurs bréviaires des diocèses de Bayeux, Coutances, Troarn, Lisieux et Sées au XVe siècle (Leroq. B.572, B.469, Lat. 1323, Leroq. B.620, B.571, B.544, B.545, B.661); et saint Ursin (30 décembre), fêté dans une série de bréviaires et de missels à l'usage de Rouen et Bayeux (Leroq. B.539, B.572, B.571, M.725, M.724, Lat. 1334). Contenu Séquences des quatre Évangiles (f. 13r-18v): Jn 1, 1-14 (f. 13r- 15r); Lc 1, 27-38 (f. 15r-16r); Mt 2, 1-12 (f. 16r-17v); Mc 16, 14-20 (f. 17v-18v). Oraisons à la Vierge (f. 18v-25v): « Obsecro te » (f. 18v-21v); « O Intemerata » (f. 21v-25v). Heures de la Vierge (27r-78v) [les rubriques indiquant l'office suivant figurent généralement à la suite des prières de l'office précédent; on est ainsi assuré de ce que le volume est complet, ce que l'ordre des feuillets confirme]: matines (f. 27r-37v); laudes (f. 38r-51v), que termine une série d'antiennes et de prières au Saint-Esprit, à saint Michel, saint Jean Baptiste, saint Laurent, saint Nicolas, sainte Catherine, sainte Marguerite, pour la paix [f. 52 vierge]; prime (f. 53r-58r); tierce (f. 58v-61v); sexte (f. 62r- 64v); none (f. 65r-67v); vêpres (f. 68r-73v); complies (f. 74r-78v). Psaumes pénitentiels (f. 79r-91v), suivis des litanies des saints (f. 91v-95v) où l'on retrouve saint Mellon de Rouen (f. 93r) et saint Maclou (f. 93v) [f. 96 vierge]. Heures abrégées de la Croix (f. 97r-100r): matines (f. 97r-98r); prime (f. 98r-v); tierce (f. 98v); sexte (f. 98v-99r); none (f. 99r); vêpres (f. 99r-v); complies (f. 99v-100r). Heures abrégées du Saint-Esprit (f. 100v-103v): matines et laudes (f. 100v-101v); tierce et sexte (f. 101v-102r); none (f. 102r-v); vêpres (f. 102v-103v) [f. 104 vierge]. Heures des défunts (f. 105r-147v) [dans cette section, le texte est dépourvu des rubriques séparant les offices]; [f. 148 vierge]. Le volume s'achève sur deux prières en français. La première (f. 149r-154v), dédiée à la Vierge, suit le texte des Quinze joies Notre Dame, dont les versets alternent avec l'Ave Maria. La seconde (f. 154v-162v) est une oraison dévote adressée au Christ, alternant avec le Pater noster. Le succès de ces oraisons dans les dernières décennies du XVe siècle repose largement sur l'essor des confréries du Rosaire et à la diffusion du Livre et ordonnance de la dévote confrérie du Psaultier de la glorieuse Vierge Marie. Le succès particulier rencontré par ces textes en Bretagne, terre d'origine du dominicain Alain de la Roche qui encouragea cette dévotion, ne surprend pas au vu de l'origine de notre manuscrit. D

Estim. 20 000 - 25 000 EUR

mer. 15 mai

LAUZUN (Antoine-Nompar DE CAUMONT, duc de) (1633-1723) L.A.S du duc de Lauzun au marquis de Louvois Lettre sur papier, en français ; reste de cachet de cire. [Forteresse de Pignerol], 21 février (ou 27 février) 1680, 3 pp. in-4 et adresse au verso. Dimensions : 265 x 184 mm Rare et longue requête écrite à la fin de la détention du duc de Lauzun dans la forteresse de Pignerol où le duc fut incarcéré pendant presque dix ans de 1671 à 1680. Personnage haut en couleurs, le duc de Lauzun fut un officier et aventurier, d'abord proche du roi Louis XIV. Après bien des moments de disgrâce et de retour en grâce auprès du roi, le duc de Lauzun arrive enfin à épouser Anne-Marie-Louise d'Orléans, dite la Grande Mademoiselle en 1682, secrètement d'abord. Celle-ci nourrissait à l'égard du duc de Lauzun des sentiments certains depuis la fin des années 1660 : le roi et les princes de sang voyaient cet hymen d'un très mauvais œil. Lauzun finit emprisonné à la forteresse de Pignerol où il retrouva Fouquet et où il passera presque 10 ans. Cela n'empêcha pas le duc de Lauzun d'épouser la Grande Mademoiselle en 1682, pour enfin se brouiller complètement avec son épouse à partir de 1685 et la Cour lui fut complètement interdite. Cette très longue lettre est intéressante car elle est adressée au marquis de Louvois qui ne fut pas, dans le passé, particulièrement favorable au duc de Lauzun. Louvois lui vouait une inimitié et ne lui accorda pas en 1669 la charge de grand maître de l'artillerie. Ses colères lui vaudront un premier séjour à la Bastille. Lauzun sollicite une rencontre avec Louvois, pour lui dire " de bouche " " ce que j'ay a vous faire savoir ". Il poursuit : " … puisque tres assurément vous verés clerement, et en un moment la seincerité de toute mon affection pour vous et l'importance de la chosse… " [sic]. Lauzun sera enfin libéré le 22 avril 1680 soit trois mois après l'envoi de cette lettre. Expert : Ariane Adeline

Estim. 800 - 1 200 EUR

mer. 15 mai

[MANUSCRIT]. [SAINT-AUGUSTIN (Ordre de)]. Recueil relatif à la messe et aux devoirs du prêtre [Speculum compositum presbiterum Augustinum de dignitate sacerdotum] En latin, manuscrit décoré sur parchemin Italie du nord (?), vers 1450-1475 et rajouts vers 1500 64 ff., précédés et suivis d'un feuillet de garde de parchemin, écriture gothique liturgique arrondie, une seconde main a copié les textes liminaires (ff. 1-5), inscriptions effacées au feuillet 18v et au feuillet 64v, une troisième main a copié les ff. 20-22v (rajouts vers 1500 ?), rubriques en rouge, signes de paragraphe en bleu ou rouge, initiales peintes en rouge ou bleu, quelques-unes avec un décor filigrané. Reliure de parchemin rigide, dos lisse, quelques taches. Quelques feuillets aux marges tachées, signe d'utilisation intense (traces de lecture soutenue). Dimensions : 110 x 70 mm Ce manuscrit est composé dans un contexte augustin, peut-être des chanoines réguliers de saint Augustin ou un ermite de saint Augustin (?), dont la première rubrique fait référence à un " prêtre augustin ". La présence d'une prière de saint Ambroise, évêque de Milan, renforce l'origine augustine de ce recueil. De même, la présence d'une prière attribuée à saint Anselme s'explique par les liens de saint Anselme de Cantorbéry avec l'ordre augustin : Anselme de Cantorbéry est fortement influencé par saint Augustin, appliquant à la lettre le précepte de saint Augustin " la foi qui cherche l'intelligence ". Après des textes liminaires copiés par une autre main, proche contemporaine, le copiste inscrit une première rubrique : Speculum compositum presbiterum Augustinum de dignitate sacerdotum unde ita dicit [Ouvrage (Miroir) composé par un prêtre augustin sur la dignité du sacedoce] ; incipit, " O veneranda sacerdotum dignitas in quorum manibus filius dei… ". Rubriques suivantes : Actende qui celebrare vis ; Quid cogitandum in missa ; Devotio requiritur in missa celebratione ; De utilitate celebrationis misse ; Hec est figura huius sacri que describitur Exodi .xii. capitulo… ; Incipit corona Yhesu Christi ; Oratio sanctii Ambrosii episcopi ante missam didenda [Prières de saint Ambroise, évêque, avant de dire la messe : Saint Ambroise de Milan fut décisif dans la conversion d'Augustin d'Hippone]. Suivent plusieurs prières. Autre rubrique : In preparatione misse ; Incipit officium sancte crucis [Office de la Sainte Croix] ; Incipit officium spiritus sancti [Office du Saint-Esprit] ; Oratio sancti Anselmi ; Devota salutatio corporis Christi editam a papa Johanne… Une troisième main a rajouté des prières thématiques pour les morts (ff. 20-22v) : " Pro uno defuncto " ; " Pro defuncta femina " ; " Pro pluribus defunctis " ; L'ordre de Saint Augustin (Ordo Fratrum Eremitarum Sancti Augustini) est un ordre mendiant fondé au XIIIe siècle en Italie. Provenance : - Manuscrit copié en Italie, sur des critères paléographiques et ornementaux. - Inscriptions sur le contreplat supérieur : " Orationes super missam. Don de M. Zozime Beau, chanoine de Sens, 1896. - France, collection particulière. Expert : Ariane Adeline

Estim. 3 000 - 4 000 EUR

mer. 15 mai

Kennedy Assassination: Uncut Associated Press Teletype Roll (16 Feet in Length) - Rouleau télétype original non coupé de l'Associated Press relatant la nouvelle de l'assassinat de Kennedy à Dallas, Texas, le 22 novembre 1963. D'une longueur approximative de 16 pieds et demi, le rouleau se compose des bulletins AP109 à AP141, qui comprennent des rapports sur la fusillade, les témoignages, la réaction de Mme Kennedy, l'intervention des services secrets et de la police, la poursuite de l'assassin et les événements à l'hôpital Parkland, où le président a finalement été déclaré mort. Les points saillants sont les suivants : AP109 : "Le président Kennedy a été abattu à Dallas, au Texas. Il a été abattu alors que son cortège quittait le centre-ville de Dallas. Mme Kennedy s'est levée d'un bond et a attrapé le président. Elle s'est écriée 'Oh, non' alors que le cortège repartait en trombe." AP112 : "Un journaliste a demandé à l'assistant présidentiel Kenneth O'Connell si le président Kennedy était mort. O'Connell n'a pas répondu." AP113 : "Le président Kennedy a été transporté à l'hôpital Parkland de Dallas. C'est près du Dallas Trade Mart où il devait faire un discours." AP114 : "Le journaliste Jack Bell rapporte que trois coups de feu ont été tirés alors que le cortège présidentiel s'engageait dans un triple passage souterrain à Dallas qui mène à l'autoroute Stemmons. Après que le président a été touché, les services secrets ont fait signe au cortège de se rendre à toute vitesse à l'hôpital Parkland, situé à proximité." AP115 (Troisième résumé en cinq minutes) : "Le président Kennedy a été abattu aujourd'hui alors que son cortège quittait le centre de Dallas. Il n'y a aucun rapport sur son état de santé...Le représentant Albert Thomas du Texas dit qu'il a été informé que le président Kennedy et le gouverneur John Connally du Texas sont toujours en vie...Deux prêtres catholiques romains avaient été convoqués aux urgences plus tôt. Un collaborateur de la Maison Blanche a déclaré que les prêtres avaient été 'demandés'...FLASH Deux prêtres ont déclaré que Kennedy était mort". AP131 (Onzième résumé en cinq minutes) : "Le président Kennedy est mort. Un tireur d'élite armé d'un fusil de grande puissance l'a abattu alors que Kennedy roulait en cortège hors du centre-ville de Dallas... Kennedy est mort d'une balle dans le cerveau... À l'hôpital, Kennedy a reçu une transfusion sanguine - en vain. Deux prêtres lui ont administré les derniers sacrements de l'Église catholique romaine. Il est mort environ 30 minutes après avoir été abattu...Avec l'assassinat de Kennedy, Johnson est devenu automatiquement président...Une recherche intensive est en cours pour retrouver l'assassin....Le président Kennedy avait 46 ans, et était le plus jeune homme jamais élu à la présidence. On ne sait pas encore quand Johnson prêtera serment". AP132 : "Un agent des services secrets et un policier de Dallas ont été tués par balle aujourd'hui. Ils ont été abattus à une certaine distance de l'endroit où le président Kennedy a été assassiné." AP134 : "La police affirme maintenant que le président Kennedy a été assassiné par un tir provenant d'un entrepôt. Tout le bâtiment a été évacué. Un policier de Dallas dit que la police a trouvé des restes de poulet frit et de papier au cinquième étage. Le tireur d'élite était apparemment là depuis un certain temps. Les services secrets ont déclaré que l'assassin avait apparemment utilisé un fusil militaire ou japonais de grande puissance, d'un calibre d'environ 25. Le fusil était équipé d'une lunette de visée". AP135 : "Le corps du président Kennedy a été évacué de l'hôpital Parkland à 14h05 (heure locale)... Mme Kennedy était assise sur le siège passager de l'ambulance." AP136 : "La police a arrêté un homme blanc dans le quartier de Riverside à Fort Worth en relation avec le meurtre d'un policier de Dallas. L'homme a nié tout lien avec l'assassinat du président Kennedy." AP140 : "Lorsque la nouvelle de la mort du président est parvenue à la Maison Blanche, les femmes ont pleuré sans honte. Les gens ont commencé à se diriger vers la Maison Blanche et sont restés silencieux sur le trottoir, ou dans le parc Lafayette, de l'autre côté de Pennsylvania Avenue, en regardant fixement. Le drapeau de la Maison Blanche a été mis en berne quelques instants après l'annonce de la mort du président". Inclut son tube d'origine. Enroulé et en très bon état, avec des taches, un dos et une perte de papier au début du rouleau.

Estim. 4 000 - 6 000 USD

mer. 15 mai

Jack Ruby: Bullet Fired From the Gun that Shot Oswald - Une balle tirée par le véritable revolver Colt Cobra de calibre 38, numéro de série 2744 LW, utilisé par Jack Ruby pour abattre Lee Harvey Oswald le 24 novembre 1963, dans le sous-sol du quartier général de la police de Dallas, ainsi que sa douille. La balle et la douille, identifiées comme faisant partie de l'"Owner's Proof Edition", sont montées dans un présentoir avec une plaque gravée, une photographie et un certificat d'authenticité signé par Anthony V. Pugliese III de la National Historical Mint. La photo est signée par les escortes de Lee Harvey Oswald, les détectives Jim Leavelle et L. C. Graves, et par Earl Ruby, le frère de Jack Ruby. L'œuvre encadrée mesure 18 x 24. En très bon état. Accompagné de deux certificats d'authenticité signés par Earl Ruby, dont l'un est également signé par Pugliese. Les certificats portent le même texte, qui se lit comme suit Ce certificat atteste que cette balle et cette douille font partie des 100 balles authentiques de calibre 38 spécial tirées le 24 novembre 1993 par "l'arme la plus célèbre du monde", le Colt Cobra 38 spécial de Jack Ruby portant le numéro de série 2744. C'est moi, Earl Ruby, le frère de Jack Ruby, qui ai tiré pour la première fois avec cette arme le 24 novembre 1993 à Delray Beach, en Floride, pour commémorer le trentième anniversaire de la mort de Lee Harvey Oswald. Une seule balle de ce célèbre pistolet a changé le cours de l'histoire le 24 novembre 1963. Des milliers d'Américains pensent que Jack Ruby était un héros ce jour-là. Cependant, Jack est devenu la victime de ses propres actes lorsque la mort dramatique d'Oswald a fermé la porte à la vérité sur l'assassinat du président Kennedy. Cette seule balle qui a réduit Lee Harvey Oswald au silence a marqué le début de l'industrie de la conspiration, qui perdure encore aujourd'hui".

Estim. 800 - 1 200 USD

mer. 15 mai

William F. 'Buffalo Bill' Cody: Mark Hopkins Limited Edition Bronze Sculpture - Magnifique sculpture en bronze massif en édition limitée de la légende de l'Ouest William F. 'Buffalo Bill' Cody par le sculpteur Mark Hopkins, numérotée 23/50, 12″ x 19.75″ x 11″, 36 livres, représentant la tête et les mains du légendaire homme des frontières et impresario américain ; le beau portrait de Cody comporte sa moustache et sa barbiche emblématiques, et ses longs cheveux sont surmontés d'un chapeau de cow-boy à bord retroussé ; ses mains flottent en dessous, la gauche tenant les rênes de son cheval, la droite saisissant la crosse d'un revolver Remington. Le revers de la rêne est gravé de la signature de l'artiste et du numéro d'édition. Très bon état de conservation. Accompagné d'un certificat d'authenticité signé par le sculpteur. Mark Hopkins est considéré comme l'un des meilleurs sculpteurs des États-Unis aujourd'hui. Des sculptures de table aux monuments, ses œuvres sont exposées dans les maisons, les bureaux et les lieux publics du monde entier. L'œuvre de Hopkins révèle sa fascination pour presque tous les aspects imaginables de la vie : l'histoire, les enfants, le sport, la musique et la religion, ainsi que la faune et la flore de la terre, de la mer et de l'air. Son style est si fluide et vivant qu'il a été qualifié de "bronze en mouvement", une description pertinente illustrée par cette représentation terriblement robuste du grand Buffalo Bill.

Estim. 1 000 - 2 000 USD

jeu. 16 mai

Fusil à silex de belle facture, avec crosse de chasse attachée, représentant la couronne des princes de Schwarzenberg, par Leopold Becher de Carlsbad, circa 1740. Le canon burnisé est légèrement resserré au centre, avec une rayure à sept gorges de calibre 15 mm. Deux crochets sur le côté droit pour attacher le crochet de chasse. Points de mire à double action, la lunette arrière pliable avec décoration en relief. La signature "LEOPOLD BECHER" incrustée en or sur le haut du canon, derrière laquelle se trouvent deux pseudo-marques de style espagnol incrustées de laiton doré (Stöckel nos. 5757 et 5758). La racine du canon, la tige et le museau sont décorés de bandes déroulantes et de trèfles incrustés d'or. Le verrou en silex est orné de motifs ciselés sur fond doré. Représentation d'un chasseur avec un chien et une canne à pommeau. Gâchette à simple détente. La crosse pleine exquisément sculptée en noyer, la garde avec quelques trous de vers éparpillés. Armoiries de la famille Schwarzenberg gravées en laiton avec décorations en relief lavis. Boîte à patch avec un ressort et un couvercle coulissant. La roulette en bois remplacée avec pointe en laiton. Longueur 103 cm. Comprend également le porte-chasse amovible associé, la lame à une seule pointe avec des fulminations sur les deux côtés. Monture en laiton, la plaque de garde avec l'écusson des princes de Schwarzenberg en relief. Poignée de crosse, deux boucles de montage avec un mécanisme de verrouillage bleu à l'arrière. Scabbard en cuir noir avec montures en laiton gravées. Longueur 69 cm. Leopold Becher est documenté comme armurier à Carlsbad de 1725 à 1750 environ. Il a travaillé pour les princes de Lobkowitz, entre autres. Condition : I - II

Aucune estimation